Tadart g\'Ighil-bouamas

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Assises de l'Education...

                                                                                  Benghebrit, la cerise sur le gâteau ?!

 

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L'activisme de Benghabrit ne déroge point à l'agitation des sinistres à Bouteflika, à commencer par son premier sinistre Sellal, Hacha razq rabi. 

Ou Benghebrit croit réellement à ses réformettes qui n'en sont point les premières après celles de Benmohamed ou de Benbouzid, ou elle est consciente qu'on ne peut rien changer avec un homme qui privatise l'Algerie pour des gangs, des mafieux. Elle ou Amara Benyounes, c'est du kifkif au meme Ghoul, Benkhalfa, Bouchouareb...Khelil.
Elle ânonne que le niveau des math et du francais est de 30%, inférieur au sigma de la normale, un niveau qui peut etre en dessous de 20%, sans dire la cause de ce recul d'une matière de base pour toute les sciences ou d'une langue usitée en Algerie. 
Les math ont été diabolisées avec la montée de l'intégrisme islamiste les années 90, le français ainsi que l'Anglais avaient été interdits par les arabistes bédouins du GIA, AIS, GSPC, AQMI et maintenant les HamaDAECH ! Quoi de plus terrible que d'entendre des Directeurs de CEM exiger de ne pas comptabiliser les matières de francais et d'anglais lors des passages au secondaire dans les zones dites "libérées", sous l'emprise des groupes armés islamistes, après l'interdit sur l'école lancé par Layada, le chef des sanguinaires islamistes avant que les mokhazni à Hassan II ne l'intercepte 

Mme Benghebrit ne nous dit pas pourquoi le bac professionnel a été retiré deux ans après avoir été instauré par le ministère de la formation professionnelle dont le secrétaire général n'est qu'un des frères du Président de la République, ni les raisons qui ont poussé ses prédécesseurs à mettre au banc des accusés les mathématiques au point que le lycée Emir Abdelkader d'Alger n'est pas arrivé à constituer une classe de mathématiques avec ses 2300 élèves lors de la rentrée scolaire 94/95 ? 
Ne parlons pas du bac technique et du bac technique mathématique. Ils ont disparu ! Plus d'enseignement de l'Histoire suspectée de faire réveiller la vraie identité algérienne, celle amazighe, avec ses corollaires, le culture et la langue amazighe. 

Mme Benghebrit, la commission Benzaghou ou celle de machin Bidule ne disent pas pourquoi l'Algerie post-80, celle de l'imposture de l'Eté62, a décidé de mettre fin à l’enseignement de la technologie dans le secondaire, à son ba ba dans le moyen ou ses premiers pas au primaire ? Que sont devenus les équipements acquis à coups de milliards pour les technicums ? Benmohamed est venu avec ses reformes version Cherif Messadia-Abassi Madani, deux sinistres barbesFLN du parti inique ! Des contingents d'élèves furent victimes de leur guéguerre islamo-bathistes. Comme dans un laboratoire à Frankenstein, les enfants du Peuple continent à servir de cobayes quand les bourses d'études à l'Etranger, jadis réservées aux meilleurs bacheliers, sont le privilège d'enfants de la Nomenklatura depuis l’avènement de Monsieur Bouteflika. Des écoles, des CEM, des Lycées publics, quand ce n'est pas des classes sont réservés aux enfants de "nantis", pour ne pas dire d'arrivistes et autres opportunistes... Meme la nouvelle école pour ingénieurs de Rouiba serait réservée aux enfants de la fratrie aux généraux.
Aujourd'hui, c'est à visage découvert que de nouvelles réformettes sont engagées, au pas de charge, pour faire avaler des couleuvres aux Algeriens dans la privatisation de leur pays . 
A quoi répond humainement et scientifiquement un bac donné, attribué, bien déclassé internationalement, au bout une année scolaire squelettique sous les chantages, grèves et autre "attaba", un programme minimum attribué aux élèves pour sauver une année scolaire ou un système moribond ? Durant cette dernière année scolaire à Benghebrit, on a plus parlé de copiage des élèves que de la gestion malhonnête de l'école, du système éducatif, des fléaux que subissent les élèves et leurs parents 

Les cours de soutien sont une preuve par l'absurde de la catastrophe du système éducatif, non de l'école, ni de l'élève ou de la famille que ne reconnait pas la conference à Benghbrit quoique que les causes n'incombent pas qu'au secteur de l'Education. Oui ! C'est un Tout. 

Que peut-on attendre d'un système qui met en retraite anticipée son encadrement technique, administratif avant la cinquantaine mais encadre son armée par de vieux et gros militaires bardés d'étoiles ?

Salah A-y
Président Fondateur de l'Union des parents d'élèves de la Wilaya d'Alger/ UPEWA



30/07/2015
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