Tadart g\'Ighil-bouamas

Ighil Arvi:  Antre ou refuge de tangos ?

La commune N'Ath Voudrar est propulsée à la Une en ces temps de Pax Boutefllikienne. Que se passe-t-il en notre  commune pour devenir le fief des desperados de l'AQMI, un demi-siècle après que les forces occupation française aient quitté l’Algérie, une décennie après que le terrorisme aveugle se soit évanoui , ou recyclé par M. Bouteflika en personnes fréquentables ?

On peut s'interroger ou se perdre dans les spéculations les plus farfelues sans y voir de logique dans ce machiavélisme que certains érigent en politique .

A l'est du village d'Ighil-Bwammas, pas loin de  Thala Nettmoussay, tout prêt du vieux Moulin à eau, Ighil Arvi serait-il devenu le fief des restes de l'ex GIA, ex-GSPC devenu AQMI ?  C'est là que l'émir du GIA Ait Ziane avait séquestré le défunt Matoub

On pourrait penser que ces restes soient des résidus comme diraient Ouyahia de Bouadnane, Zerhouni de Tabarka, ou Ould Kablia de Tanger. Or, ces résidus apparaissent quand personne ne les attend. Ils frappent ceux qui croient qu'ils sont venus pour se mettre à l'abri de la Pax Boutelika comme récemment en furent victimes des jeunes de l’armée au lieudit "Accarière", à la limite des communes Wassif et Iboudraren.

Salah A.Y.